Outre-mer : pouvoir d’achat, emploi et simplification

Le 30 juillet, le ministre des Outre-mer Manuel Valls présentera en Conseil des ministres le projet de loi de lutte contre la vie chère en Outre-mer, en vue d’un examen au Sénat à partir du 29 septembre.

Trois décrets ont également été adoptés par le Comité interministériel des Outre-mer (CIOM) pour renforcer les mécanismes de contrôles et la transparence des acteurs économiques. Une circulaire sera prochainement publiée afin d’améliorer les délais de paiement public.

A ce jour, les prix des produits de première nécessité ont baissé de 10 % en Martinique, soit la moitié de l’engagement pris en octobre 2024 par le gouvernement (-20 %).

Soutenir le pouvoir d’achat et le climat des affaires demeure la seule solution pérenne pour maîtriser durablement l’inflation. Avec la création du Bassin d’Emploi à Dynamiser (BED) ou la mise en place de guichet unique, la CPME appelle à des mesures en faveur de l’emploi et de la simplification de l’action entrepreneuriale.

Retrouvez nos propositions pour favoriser la compétitivité des TPE-PME et l’attractivité des territoires dans la Boussole stratégique de la France océanique.

Projet de budget 2026 : des premières annonces à saluer

La CPME salue les orientations budgétaires présentées par le Premier ministre François Bayrou. Ces mesures marquent, enfin, une rupture avec la spirale d’augmentation continue des dépenses publiques, et rejoignent de nombreuses préconisations portées de longue date par la Confédération. 

« Je salue les mesures courageuses qui ont été annoncées par le gouvernement et le Premier ministre, même si nous serons vigilants sur leur application », a affirmé Amir Reza-Tofighi, président de la CPME, mercredi 16 juillet en direct sur RTL.

Le projet de budget 2026, en rééquilibrant l’effort collectif et en cessant de faire peser la charge quasi exclusivement sur les entreprises, comme ce fut le cas en 2025, va dans le bon sens. Il réaffirme une priorité : préserver les TPE-PME dans un contexte économique fragile, où les défaillances se multiplient.

« Il faut remettre le travail au centre du projet de société » a indiqué le président sur RTL. Il estime que les mesures incitant à augmenter le temps de travail, comme la suppression de deux jours fériés, vont dans le bon sens puisque c’est en dopant la croissance du pays que l’on financera notre souveraineté militaire et qu’on luttera contre le déficit public abyssal. Il a également approuvé le projet de réforme de l’assurance-chômage visant à rendre moins incitatif le fait de ne pas travailler. 

De plus, l’instauration d’une allocation sociale unique, la volonté de réduire les effectifs de la fonction publique, de plafonner les dépenses des collectivités ou de limiter les normes pesant sur les entreprises sont autant de signaux positifs. Mais la CPME restera particulièrement attentive aux arbitrages à venir dans le cadre du débat parlementaire.

« Si nous ne sommes pas capables collectivement de prendre des mesures courageuses, la situation de la France est trop grave… et demain, ce sera le FMI qui nous dictera ses décisions. » a alerté Amir Reza-Tofighi.

Il a également réagi sur LCI et Franceinfo TV

Ses propos ont été repris dans la presse :

Des prestations sociales qui pèsent trop lourdement sur les entreprises : ce n’est plus supportable

En 2023, les dépenses de prestations de protection sociale représentaient en moyenne 26,6 % du PIB dans les 27 pays de l’UE et 31,5 % du PIB en France, soit un écart de plus de 5 points de PIB en matière de prélèvements obligatoires représentant 141 milliards d’euros de dépenses publiques annuelles supplémentaires !

Aujourd’hui le résultat est là : en France, pour qu’un salarié puisse gagner 2147€ nets mensuels, il faudra débourser 3647 € (dont 1500€ de cotisations : 907 € pour l’employeur et 593€ pour le salarié).

Une stratégie touristique ambitieuse passe par la connectivité des territoires

La CPME alerte sur les conséquences économiques, touristiques et territoriales de la politique fiscale menée à l’encontre du transport aérien. À l’occasion d’une conférence de presse réunissant les principaux acteurs du secteur autour d’Amir Reza-Tofighi (CPME) — Thomas Juin (UAF), Bertrand Godinot (EasyJet France), Laurent Timsit (FNAM) et Nicolas Dayot (CPME Tourisme) — la CPME a dénoncé une série de décisions fiscales qui affaiblissent la connectivité de la France, compromettent son attractivité touristique et menacent l’activité économique dans les territoires.

Une France en décrochage face à ses voisins

À l’heure où des pays comme l’Italie, l’Espagne ou le Portugal affichent une croissance spectaculaire du trafic aérien, atteignant +13 à +17 % par rapport à 2019, la France, elle, enregistre une diminution de 4 %. Ce décrochage n’est pas conjoncturel : il résulte d’une politique assumée de décroissance du transport aérien. La France est aujourd’hui le seul pays d’Europe à organiser la réduction de son offre aérienne, en contradiction flagrante avec la demande réelle et les besoins de mobilité des entreprises et des citoyens.

Une fiscalité punitive aux effets systémiques

La CPME souligne que le transport aérien contribue à hauteur de 23 milliards d’euros aux recettes touristiques, représentant près de 40 % des revenus du tourisme international en France en 2023. Renforcer la pression fiscale sur ce secteur revient à fragiliser l’ensemble de l’écosystème touristique : hôtellerie, restauration, culture, artisanat et PME réparties sur tout le territoire. Cette politique prive également le secteur des ressources indispensables à sa transition écologique, qu’il s’agisse de l’investissement dans les carburants durables (SAF) ou de la modernisation des flottes aériennes.

Une stratégie touristique à reconstruire

Ce constat interpelle sur la nécessité de revoir en profondeur la stratégie touristique française. Bien que la France demeure la première destination mondiale en nombre de visiteurs, elle se trouve nettement distancée en matière de recettes : en 2024, l’Espagne a généré 126 milliards d’euros contre 71 milliards pour l’Hexagone. Ce différentiel met en lumière le manque de valorisation des séjours et l’absence d’une politique ambitieuse de montée en gamme. Il est urgent de considérer le transport aérien comme un levier essentiel pour attirer des visiteurs contributifs, allonger la durée des séjours et favoriser la découverte de l’ensemble du territoire grâce à un maillage d’aéroports performant.

L’aviation d’affaires : un outil de compétitivité territoriale

L’aviation d’affaires s’impose également comme un levier essentiel de compétitivité pour les territoires. Trop souvent réduite à des clichés, elle répond pourtant, dans 80 % des cas, à des impératifs professionnels, et 75 % de ces vols desservent des villes qui ne bénéficient d’aucune alternative ferroviaire rapide. Remettre en cause l’aviation d’affaires ou supprimer certaines lignes régulières, c’est affaiblir directement l’activité des entreprises régionales, mettre en péril la présence de sièges sociaux en région et compromettre la création de valeur sur l’ensemble du territoire.

Pour que la France retrouve une dynamique touristique forte, il est essentiel d’adopter une politique aérienne à la fois ambitieuse et cohérente. Sans une réelle volonté d’améliorer la connectivité du territoire et de soutenir l’innovation au sein du secteur aérien, il sera difficile d’accroître l’attractivité nationale, de valoriser pleinement les territoires, de stimuler le tourisme et de mener à bien la transition énergétique du transport aérien.

À l’occasion de cette conférence de presse, Amir REZA-TOFIGHI, Président de la CPME, a déclaré : « Le véritable défi pour la France n’est plus d’attirer des visiteurs, mais de transformer cette affluence en valeur ajoutée pour nos territoires. Il est temps de sortir d’une logique de volume pour engager une stratégie de valeur : prolonger les séjours, diversifier les expériences proposées et mieux répartir les flux sur l’ensemble du pays. Mais rien de tout cela ne sera possible sans une politique du transport aérien cohérente et ambitieuse, capable d’assurer la connectivité et l’accessibilité nécessaires à la montée en gamme de notre offre touristique. Sans cette montée en gamme et sans une vision ambitieuse, la France risque de voir son potentiel touristique s’éroder, restant un géant en fréquentation mais un nain en retombées économiques. »

Thomas JUIN, Président de l’UAF, a déclaré : « La France ne peut pas se doter d’une stratégie touristique ambitieuse tout en rendant économiquement intenables les conditions d’accès à ses territoires. À force d’alourdir la fiscalité sur le transport aérien, elle pousse les compagnies aériennes à se détourner de notre pays, affaiblit ses aéroports et compromet l’équilibre de ses territoires. Si nous ne redéfinissons pas rapidement une politique cohérente et volontariste, les avions ne feront bientôt que survoler la France sans jamais s’y atterrir. Il est urgent de sortir de cette logique de décroissance déguisée et de bâtir une politique touristique cohérente, qui reconnaisse enfin l’aérien comme un levier de développement au service de l’attractivité nationale ».

A propos de l’UAF

Avec près de 150 adhérents, l’Union des Aéroports Français est l’organisation professionnelle des aéroports français, quelles que soient leur taille et leur spécialité. Elle a pour principale mission de défendre et de promouvoir les intérêts de la communauté aéroportuaire française auprès des décideurs français et européens. L’UAF est membre associé de la Fédération Nationale de l’Aviation et de ses métiers (FNAM) et de l’Airports Council International EUROPE (ACI EUROPE).

Contact Presse UAF : Erwan LEMERCIER – Tél : 06 42 31 02 80 – elemercier@angiocom.fr

A propos de la CPME

A propos de la CPME : Première organisation patronale française en nombre d’adhérents, la CPME fédère 243 000 artisans, TPE, PME et ETI dans le secteur des services, du commerce et de l’industrie, employant plus de 5 millions de salariés dans tous les territoires, y compris l’outre-mer (chiffres DGT 2024).
En savoir plus : www.cpme.fr

Contact Presse CPME : Anne-Victoire Chaumet, Sylvie Huynh et Julie Guiraud, n° 06 73 67 89 41 – presse@cpme.fr

Accélérer la mutation des centres-villes : quand l’IA devient un levier pour le commerce

La CPME a participé mardi 8 juillet au séminaire sur la mutation du commerce en centres-villes et en centres-bourgs. A cette occasion, la ministre des PME, Véronique Louwagie a dévoilé en avant-première un guide pratique IA pour les commerçants.

À travers quatre cas pratiques, ce guide peut donner aux commerçants des idées d’intégration de l’intelligence artificielle dans leur activité quotidienne pour :

  • l’amélioration du support client
  • la création de contenu
  • la personnalisation des recommandations
  • l’optimisation de la gestion des stocks

Elle a également appelé les communes à signer la Charte ville commerçante promue par la DGE.

La signature de cette charte engage communes et commerçants sur sept axes essentiels : accessibilité, durabilité, dynamisme et sécurité, visibilité, emploi et formation, urbanisme, et gouvernance locale du commerce.

En échange, la commune peut :

  • Valoriser ses actions locales en faveur du commerce ; 
  • Communiquer sur son appellation « Ville commerçante » ; 
  • Utiliser le logo « Ville commerçante » en l’apposant sur ses communications ; 
  • Utiliser l’ensemble des ressources du kit adossé.

Sécurité sociale : pour sauver notre modèle, il faut freiner l’explosion des dépenses

La CPME appelle à une réforme urgente de l’assurance maladie.

Le déficit de la Sécurité sociale a atteint 18,2 milliards d’euros en 2024, tiré à plus de 80 % par les dépenses de l’assurance maladie. Et les projections pour 2025 sont encore plus alarmantes : 24 milliards d’euros si aucune réforme n’est engagée.

Notre modèle social est à bout de souffle. Il ne s’agit pas de le remettre en cause, mais bien de le sauver. Et pour cela, nous devons en finir avec les dérives de dépenses et refuser tout nouvel alourdissement de taxes ou d’impôts dans un pays déjà champion mondial des prélèvements.

De nombreuses solutions existent, documentées dans les rapports du Parlement, de la Cour des comptes, de l’IGAS, de l’Institut Montaigne, ou de l’IFRAP. Il faut désormais les appliquer.

Elles s’articulent autour de trois priorités claires :

Limiter l’explosion des arrêts maladie

L’augmentation spectaculaire des arrêts maladie – notamment chez les moins de 30 ans – désorganise les entreprises et pèse lourdement sur les comptes publics. Il est urgent d’agir pour stopper un phénomène devenu structurel :

  • Instaurer 3 jours de carence d’ordre public, dans le privé comme dans le public
  • Renforcer le contrôle des prescriptions, notamment pour les affections de longue durée (ALD)
  • Mieux encadrer les conditions d’arrêt maladie, en lien avec la médecine du travail
  • Lutter contre l’absentéisme et les fraudes liées aux arrêts injustifiés

Sortir de l’illusion du tout gratuit

Le système d’assurance maladie ne peut plus être perçu comme un simple droit de tirage sans contrepartie. Il est temps de responsabiliser les usages, tout en préservant la solidarité :

  • Doubler les franchises médicales, pour éviter les actes de confort
  • Recentrer les critères des ALD et en réduire la liste
  • Renforcer les contrôles contre les abus de prescriptions
  • Rappeler que la vocation première de la Sécurité sociale n’est pas de financer sans limites les usages non justifiés mais de venir en aide à ceux qui en ont besoin face à la maladie.

Améliorer l’efficacité de notre système de santé

Il est possible de faire mieux, sans rogner sur la qualité des soins, en modernisant nos pratiques et en rationalisant la gestion :

  • Déployer massivement la télémédecine
  • Encourager la prescription de médicaments génériques (objectif : 85 % de taux de substitution)
  • Poursuivre le virage ambulatoire dans les hôpitaux
  • Réduire les coûts de gestion de la protection sociale
  • Exploiter les potentialités de l’intelligence artificielle dans la gestion des budgets
  • Renforcer la lutte contre la fraude, en particulier à l’étranger et sur les cartes vitales

Ces mesures pourraient générer plusieurs milliards d’euros d’économies, sans sacrifier la qualité des soins.

Le statu quo n’est plus une option. Pour sauvegarder notre modèle social, il faut agir maintenant. En ciblant les abus, en modernisant les pratiques, et en refusant toute solution de facilité qui consisterait à taxer encore davantage les entreprises ou les salariés.

La CPME appelle à une mobilisation collective et responsable. Préserver notre système de santé, c’est aussi lui redonner du sens.

Les PME du tourisme : des championnes mondiales menacées de décrochage

Les entreprises du tourisme sont au cœur de notre attractivité économique. Dans ce nouvel épisode d’Expression directe, trois voix du secteur interpellent les pouvoirs publics sur l’urgence de soutenir les PME qui font vivre nos territoires.

Avec plus de 100 millions de visiteurs en 2024, le tourisme reste un pilier de l’économie française. Pourtant, derrière ces chiffres flatteurs, les PME du secteur alertent sur les risques de décrochage.

Pression fiscale, retard dans le redémarrage du transport aérien, difficultés de transmission et pénurie de main-d’œuvre : autant de freins à la compétitivité.

Dans cet épisode d’Expression directe récemment diffusé sur France 3, trois chefs d’entreprise engagés pour leur secteur témoignent : Thomas Juin, président de l’Union des Aéroports Français ; Catherine Quérard, présidente du Groupement des Hôtelleries et Restaurations de France et Nicolas Dayot, membre du Comité exécutif de la CPME en charge du Tourisme et président de la Fédération Nationale de l’Hôtellerie de Plein Air.

Qualité de l’offre, innovation, simplification réglementaire : ils appellent à une stratégie nationale forte pour éviter que la France ne perde sa place de leader mondial.

La CPME espère un passage rapide du projet de loi sur la « simplification de la vie économique », en commission mixte paritaire

Inspiré notamment par la CPME, le projet de loi de simplification de la vie économique contient des mesures concrètes qui bénéficieront aux entreprises. Quelques exemples :  relèvement des seuils de mise en concurrence et de publicité des marchés publics, mensualisation des loyers commerciaux, plafonnement des dépôts de garantie, simplification des démarches pour installer une industrie, passage du régime d’autorisation à la déclaration pour 23 procédures administratives…

Par ailleurs, ce texte dépénalise certaines sanctions encourues par les chefs d’entreprise en cas de manquement déclaratif concernant le registre des bénéficiaires effectifs, la CSRD, le droit de la consommation ou le droit des sociétés. Menacer d’une amende plutôt que d’une peine de prison semble largement suffisant !

Enfin l’instauration d’un test PME, capital pour évaluer le coût financier ou administratif d’une nouvelle norme législative ou règlementaire ayant un impact sur les PME est une avancée majeure pour briser enfin la spirale infernale de l’inflation normative. Cette mesure réclamée par la Confédération des PME a été annoncée par la Première ministre Elisabeth Borne à Impact PME en 2023 avant d’être confirmée par le Premier ministre Michel Barnier lors de ce même évènement en 2024. Et puis…rien !

Il est maintenant impératif de passer des discours aux actes. La CPME souhaite donc que ce texte examiné et amendé en première lecture, fasse l’objet d’un examen rapide en commission mixte paritaire (CMP), sans attendre la rentrée.

Budget : augmenter les prélèvements en 2026, c’est non

La réalité est cruelle. La France est 25e ou 26e (sur 27) sur les quatre principaux indicateurs des finances publiques :  le déficit, la dette, les dépenses et les prélèvements obligatoires. Et le budget 2025, bien loin de diminuer les dépenses publiques s’est, une fois de plus, contenté de rajouter 13 milliards d’euros de prélèvements supplémentaires dont l’essentiel concernait les entreprises.

Soyons donc clairs : demander davantage au monde économique en 2026 reviendrait à sacrifier le peu de croissance qui nous reste. Notre position est simple : c’est non.

Et pourtant, alors que le déficit dépasse aujourd’hui les 3200 milliards d’euros, mine la croissance et menace la souveraineté de la France, si rien n’est fait, notre pays sera balayé par une crise de la dette sans précédent. D’autres prendront les décisions que nous n’aurons pas su prendre.

Une « année blanche » consistant à geler les dépenses sans engager enfin les réformes nécessaires, ne serait qu’un expédient.

La CPME plaide plutôt pour des mesures immédiates de réduction de dépenses ayant pour objectif de rendre financièrement soutenable notre modèle social. Et supportable le poids de l’Etat et des collectivités territoriales.

Pour être efficaces, ces mesures doivent s’inscrire dans les principes suivants :

  1. Fixer une trajectoire pluri annuelle de réduction des dépenses
  2. Se concentrer prioritairement sur les réductions des dépenses publiques de fonctionnement et non sur les investissements
  3. Privilégier les mesures d’économies récurrentes
  4. Interdire les mesures de compensation des efforts budgétaires par une capacité à se refinancer par l’impôt (comme cela a été le cas avec le versement Mobilité régional en 2025)

Toute entreprise est capable de réduire ses dépenses de 2,35%, et c’est ce que représente la baisse attendue de dépenses de 40 Mds d’euros par rapport aux 1700 Mds d’euros de dépenses annuelles. Arrêtons de dire que c’est impossible pour l’Etat. 

La CPME Sud, fière partenaire de la compétition nationale des métiers WorldSkills France

La CPME Sud est partenaire officiel de la compétition nationale des métiers WorldSkills France, qui se tiendra à Marseille du 16 au 18 octobre 2025 au Parc Chanot.

Un rendez-vous d’envergure, placé sous le signe de l’excellence, de la passion et de la valorisation des savoir-faire professionnels. Plus de 800 jeunes compétiteurs, issus de 15 régions, vont s’affronter dans 67 métiers en compétition : de la plomberie à la cybersécurité, en passant par la pâtisserie, la maintenance industrielle, le design graphique, ou encore l’aide à la personne.

Un événement qui célèbre les talents de demain

Avec plus de 40 000 visiteurs attendus, cet événement gratuit et ouvert à tous est une formidable vitrine des métiers d’aujourd’hui et de demain. Il met en lumière les compétences, l’engagement et la créativité de toute une génération, tout en offrant une expérience immersive aux visiteurs, avec :

  • Des démonstrations en direct
  • Des animations pédagogiques
  • Des espaces dédiés à l’orientation et à l’emploi
  • Des métiers accessibles aux personnes en situation de handicap

Pourquoi la CPME Sud s’engage

En tant qu’organisation patronale engagée, la CPME Sud soutient cette initiative car elle contribue à :

  • Valoriser les filières professionnelles et manuelles, souvent méconnues mais ô combien essentielles
  • Encourager les vocations chez les jeunes et susciter la fierté métier
  • Favoriser les rencontres entre les entreprises, les talents et les institutions
  • Mettre en avant l’excellence française dans tous les territoires

📍 Rendez-vous les 16, 17 et 18 octobre 2025 au Parc Chanot – Marseille
🕘 De 9h à 17h (9h à 16h le samedi) – Entrée libre et gratuite

Découvrez le programme complet et les métiers représentés :

Pour équipez les talents de demain tout en bénéficiant de contreparties c’est par ici :